vendredi 13 septembre 2013
Certaines n'avaient jamais vu la mer
16 commentaires:
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Je crois à l'idée de mondes invisibles et parfois quelque chose s'en échappe... Il faut alors à ce quelque chose quelqu'un qui l'attrape...
RépondreSupprimerça c'est magnifiquement dit Chri!
SupprimerJ'y penserai avec bonheur lors de ma prochaine séance dessin dans l'atelier.
Echappé des pages si denses, qui laissent à peine respirer. Des chapitres qui s'enchaînent comme ces femmes à leur destin. Ton dessin, j'aurais aimé le voir sur la couverture de ce livre, oui, j'aurais aimé.
RépondreSupprimerBouleversant ce livre! et je vois qu'il y en a beaucoup qui le connaissent déjà.
SupprimerComme Anne, ton magnifique dessin illustre parfaitement ce beau et terrible roman, la solitude de ces jeunes filles.
RépondreSupprimerTraversée d'un désert leur vie, d'un océan qui les y mène.
Gracias Colo!
SupprimerAh ce livre, je l'ai lu aussi. Triste à pleurer, il m'a pris aux tripes. Quelle existence a été celle de ces femmes... Ton dessin c'est leur destin.. Oui vraiment. Bravo! Bon dimanche:-)
RépondreSupprimerBon lundi... ;-)
SupprimerMerci pour ta visite.
Dur cette histoire de japonaises "sacrifiées", comme beaucoup d'autres femmes encore, même de nos jours, ailleurs et ici en Europe certainement aussi...
J'aime...Tout simplement j'aime...Ces mots,ce dessin...Cette légèreté...
RépondreSupprimerJe voulais t'envoyer un mail Christiane pour te dire le blog,enfin le petit blog timide modeste,qui demande encore à se mettre en forme,en mouvement...Je ne sais pas si c'est bien ou pas que de faire cela non je ne sais pas mais c'était là dans le vent alors...Alors j'écouterai le vent qui me dira...Ce n'est pas si simple que cela ces choses là...Mais je ne trouve plus ton adresse mail et plus de contact sur le blog...Si tu veux bien...Merci
Pour un blog, ne pas se poser trop de questions. Se faire plaisir d'abord, dans la mise en page, puis pour le billet, et sans réfléchir, appuyer sur "publier". Basta. Et s'il n'y a pas de réactions, ne pas s'en faire. Continuer. Mettre sa bouteille à la mer.
SupprimerJe t'envoie un mail pour mon adresse alors. NOrmalement, dans mon profil elle devrait y figuerer. Je vais aller vérifier. Bonne journée hirondelle!
Quelle harmonie entre ce dessin et cette musique... Les vagues sont hautes et terrifiantes mais le cœur de ces femmes bat avec confiance. Nous avons toutes et tous des tempêtes à affronter, si nous gardons confiance, arrivera le calme intérieur... Ce ne sont que des mots, certes, mais si nous les gardons présents au fond de nous, nous parviendrons à les vivre dans notre chair. Douce journée à toi. brigitte
RépondreSupprimerSur le métier des milliers de fois remettez votre ouvrage et ce, bien sûr, dans l'Atelier intérieur... Bien à Toi, chère Christiane
RépondreSupprimerJ'ai beaucoup, beaucoup aimé ce livre. J'ignorais le destin de ces femmes. Je comprends que cela génère des images, des sensations fortes chez toi
RépondreSupprimerJ'aime ton dessin, ces reliefs, ces teintes, les femmes sur le bateau, si petites dans la mer immense.
RépondreSupprimerQuel bel espace tu tisses ici entre mots, musique et images...
Curieusement je viens moi aussi d'acheter ce livre... je ne l'ai pas encore lu...
Merci Amélie, de dire cela. Je n'ai pas réussi à terminer la lecture de ce livre ... Cette histoire me bouleverse trop. (pour le moment). Bises!
SupprimerCe dessin, ce titre... cela m'inspire aussi. Les mots affluent déjà.
RépondreSupprimerUn texte va peut être en naître, je te le dirai sans faute s'il accoste.
Dis donc, qu'est ce c'est beau chez toi. Qu'est-ce-que c'est doux chez toi...